mercredi 7 novembre 2012

Demande FO concernant le fonctionnement du CE.


Les élus Fo et SNICA-FO du CE souhaiteraient avoir des réponses aux questions suivantes :

1. Résultat de l’inventaire de fin juin.
2. Point sur la démarque du CE à ce jour.
3. Recettes/dépenses du concours de pétanque.
4. Y-aura-t-il un arbre de noël 2012 ?
a) Si oui, à quelle date ?
b) Sujet ?
c) Contrat, date de signature ?
d) Pourquoi ne pas nous avoir exposé le sujet avant la signature, afin que nous puissions nous prononcer ?

Concernant l’arbre de noël de nombreux salariés, retraités se plaignent de devoir payer la place pour les enfants au-delà de 14 ans.
Pourquoi ?

5. Bruges :
Combien de participants à la sortie ?
a) Actifs.
b) Extérieurs.
c) Retraités.
d) Enfants.

6. Egypte :
Point sur la participation à ce jour.
De nombreux actifs ou retraités se plaignent de l’inscription sélective.
Pourquoi ?

Nous exigeons des réponses précises à ces questions lors du CE du 31 octobre 2012, afin qu’elles soient consignées au Procès-Verbal de la réunion.

Dans l’attente de vous rencontrer le 31 octobre 2012.

Les élus FO et SNICA-FO
du CE Haut-Normand



Copie adressée à Monsieur MOREL, inspecteur du travail et Monsieur SAGIT David, Président du CE

Ordre du jour FO du CE du 31 octobre 2012

1. Position du Secrétaire du CE sur sa reprise du travail.
a. A quelle date ?
b. Nous considérons que cette absence prolongée nuit au bon fonctionnement du CE et qu’il est temps d’y remédier, car l’avenir risque de mobiliser les élus sur les fonctions qu’ils occupent et le poste quasi vacant du Secrétaire du CE doit être rapidement comblé.
Sans réponse précise de votre part, nous saisirons l’Inspecteur du Travail, qui déjà a confirmé en séance du CE de juin qu’il fallait un patron au CE.

2. Prochaine date de la réunion de travail sur le règlement intérieur du CE, surtout qu’il faut revoir les réflexions de Monsieur SAGIT, Président du CE.

3. Nous déposons à l’ordre du jour et au PV du 31 octobre 2012 les questions suivantes.

Demande FO pour un vote d'expert comptable.

Mesdames, Messieurs.

Les organisations syndicales FO et SNICA-FO demandent aujourd’hui un vote, pour le choix de l’expert-comptable du CCE.
Avec les difficultés que rencontre le GROUPE COOP CNP aujourd’hui, nous souhaitons vous sensibiliser sur ce choix.
Car, il faut reconnaitre que les différences de facturation entre les deux cabinets sont non négligeables et le groupe est obligé de payer.
• Pour la CGT, COEXCO : 35 000€ HT.
• Pour FO, EMA MARSAULT ASSOCIES : 19 500€ HT.
Il s’agit, en effet, d’une bagatelle d’environ 15 500€ HT.
Cette somme, versée pour versée, serait plus judicieusement utilisé en étant, par exemple, dirigée vers les diverses enveloppes budgétaires que provoque ce plan de restructuration aujourd’hui.
L’employeur pour sa part, quitte à payer, et malgré toutes les difficultés rencontrées, préfèrerai-t-il jeter 15 500€ HT par les fenêtres ou avantager les salariés.
Il se verrait dans l’obligation de bien réfléchir sur une reversion quelconque de la dite somme.
Quoi qu’il en soit nous afficherons ce courrier aux panneaux syndicaux aujourd’hui, et le résultat du vote lundi.
Il en va de même que vous comme nous, n’oublierons pas de rappeler à l’employeur la façon de renvoyer l’ascenceur aux salariés, ceci dans le cas où les membres titulaires CGT du CCE ne prendraient pas en compte cette différence qui au bas mot représente 15 500€ HT.

Alors, des questions pourraient se poser !

Résultat vote expert-comptable.


En réunion plénière du CCE , ce 26 octobre 2012, un choix devait se faire pour nommer un Expert-comptable au CCE.


Un vote a été réalisé par les membres du CCE, entre :



COEXCO : 35 000 euros HT.



EMA MARSAULT : 19 500 euros HT.


Il en ressort après ce vote à main levée.


COEXCO : 8 voix CGT.


EMA MARSAULT : 7 voix FO.


C’est donc le cabinet COEXCO qui assistera les membres du CCE.





Les élus FO et SNICA-FO
du CCE GROUPE

Proposition FO pour le CCE.

Monsieur le Directeur Général.

Nous vous soumettons aujourd’hui, une réflexion que nous avons arrêtée le 5 octobre 2012, en Assemblée Générale des adhérents FORCE OUVRIERE.

LA FRANCHISE, POURQUOI PAS LES COOP ?

Des grandes sociétés utilisent souvent, d’une manière importante, la franchise.
• Le Groupe CARREFOUR avec ses Contacts, City, Express, Market et ses Shopi, 8 à huit, Marché plus.
• Le Groupe LECLERC dans l’essentiel de ses points de ventes.
• La Société DIA, ex ED Carrefour dans l’essentiel de ses points de ventes.
• La Société INTERMARCHE dans un nombre non négligeable de ses magasins.
• Le Groupe CASINO avec ses supermarchés, petit casino, Spar, Franprix, Leader Price, Vival, etc…

Notons, que même s’ils traversent une période difficile, comme l’ensemble de l’économie française, ils sont leaders dans la distribution.
Alors pourquoi pas nous ?

Plusieurs avantages à cette solution :
Maintenir l’emploi :
• Dans les magasins, même si l’employeur n’est plus la Société COOP.
• Au siège, à travers le personnel s’occupant de l’administration des succursales.
• La logistique, en maintenant l’activité grossiste.
• L’impact sur la marque LM.

Ces quatre points permettent déjà d’avoir une influence non négligeable sur l’emploi.

Financièrement :
Au-delà de l’activité grossiste, les magasins dont nous voulons nous séparer pourraient être franchisés, dans la mesure où nous avons la volonté de rechercher des repreneurs.
• Par un apport financier (même minimum).
• Par la location du fond de commerce.
• Par un pourcentage (raisonnable) sur le chiffre d’affaires.
• Par une contribution annuelle sur l’enseigne.
Ces participations financières doivent permettre de compenser les coûts, d’aide et de publicité, effectués depuis le siège.


En conclusion :
Cette activité doit permettre de supprimer les foyers de pertes de ces magasins , étant entendu qu’il convient de donner aux franchisés suffisamment de liberté, pour fixer les prix de vente (sauf sur ceux de nos marques), voire effectuer des achats directs ou certains produits fragiles.

Le Syndicat FORCE OUVRIERE des Coopérateurs de Normandie/Picardie tient à faire cette proposition dans l’intérêt du Groupe, de l’emploi et des salairiés.
Les élus FORCE OUVRIERE considèrent que toutes les solutions méritent d’être étudiées, dans l’intérêt de tous y compris les consommateurs.

Dans l’attente de vous rencontrer lors du Comité Central d’Entreprise du 26 octobre 2012, nous vous adressons, Monsieur le Directeur Général, les marques de notre plus profond respect.



Le Secrétaire Général
du syndicat FORCE OUVRIERE
GROUPE COOP Ndie/Pdie
P. COUVERCHEL

Mardi 23 octobre 2012, réunion avec la FNCC à Paris.

Cette réunion s’est déroulée ce mardi 23 octobre 2012, avec pour sujet : négociations sur l’indemnité d’ancienneté.
Cette troisième réunion n’a débouché sur aucun accord entre les parties. Les documents fournis en séance notamment par COOP ATLANTIQUE, dont les chiffres concernaient la masse salariale, n’étaient pas bons. Dans ces conditions, comment avoir confiance avec des chiffres erronés.
Surtout que la volonté de dénoncer l’ancienneté vient principalement de COOP ATLANTIQUE.

Après une levée de séance, demandée par les Employeurs, la sentence tombe :
« annulation du calendrier de réunions prévues jusqu’au 5 décembre 2012 ».

En conséquence, les Employeurs déclarent la suspension des négociations et confirment la dénonciation de l’indemnité d’ancienneté au 31 décembre 2012.
Ce qui veut dire :
Début 2013, dénonciation.
+ 3 mois de préavis légal.
+ 12 mois de validité.
Enfin perte de l’ancienneté courant 2014, au bas mot 15 mois de sursis.



La délégation FORCE OUVRIERE